Shambhala la merveilleuse – Partie 2

 

Dans le précédent article, j’ai présenté Shambhala au travers de quelques généralités. Dans cette seconde partie, je vais un peu plus loin dans sa présentation en abordant son origine et ceux qui la peuplent.
Je rappelle au lecteur qu’il doit à chaque instant utiliser son libre-arbitre, s’interroger et dans la mesure du possible, recouper l’information avec d’autres sources. Ensuite, écoutez votre cœur.

 

L’ORIGINE DE SHAMBHALA

L’idée originelle provient d’un peuple natif de la Terre, appelé les pré-adamiques. «Ils avaient le souhait de donner forme à ce qui existe,» nous indique notre guide de séance. Ce peuple avait connaissance des portes et des tunnels qui permettent d’accéder aux différents plans énergétiques. Ils désiraient leur donner une certaine matérialité et créer une cité sur ces lieux pour faciliter leur accès. C’est un lieu de connexion, d’intersection des différents plans. Coloniser ces lieux-là pour s’y installer pour pouvoir utiliser pleinement les capacités de ces endroits. Ce n’est pas un emplacement précis qui regroupe plusieurs portes, mais il faut plutôt imaginer une zone étendue qui regroupe des « nœuds de liaison » des différents plans. Comme je l’ai évoqué plus haut, ces points d’accès sont bien dans la matérialité et protégés en grande partie par des hommes, bien qu’il existe également des protections au niveau subtil. Anne Givaudan et Daniel Meurois expliquent parfaitement les difficultés rencontrées pour trouver le lieu et les personnes qui gardent ce lieu, malgré une « lettre d’introduction ».

Remarque :
Les pré-adamiques sont un peuple très ancien, présent sur Terre bien avant la branche de notre Humanité. Ils avaient un physique présentant de nombreuses différences par rapport à l’être humain, puisque dotés entre autres d’un crâne de forme allongée. Cette particularité existe aussi chez d’autres peuples et n’a rien à voir avec des pratiques existantes dans l’Antiquité. Celles qui consistaient à déformer le crâne des enfants en l’enserrant avec des bandelettes de tissu ou de cuir, pour obtenir cette forme allongée afin de ressembler à ceux que l’on prenait pour des dieux. Contrairement à l’Humanité, les pré-adamiques sont peu nombreux et correspondent à une expérience d’évolution d’une autre forme de vie intelligente.

Tout au long des millénaires qui suivront la création de Shambhala, les pré-adamiques mèneront et protégeront ce projet avec les moyens qu’ils avaient à leur disposition. Ils l’ont développé au maximum de ce qu’ils pouvaient faire dans les conditions du moment. Il existait durant cette période une véritable menace de l’Ombre issue d’autres plans. Ils avaient également une volonté de protection de ce qui avait été fait, car c’était nécessaire en ce temps, d’où l’impossibilité de se développer plus encore. Ceci explique pourquoi ils ne s’ouvraient à d’autres peuples qu’avec beaucoup de méfiances, parce qu’impossible de se développer plus sur les différents plans sans que leur réalisation soit mise en péril, tant le danger était grand. Avec le temps, des liens se sont tissés avec des peuples d’autres plans et une fois la confiance installée, la collaboration fut possible. C’est donc à l’environ de -700 ans avant JC qu’une transmission progressive des « clefs » de Shambhala eut lieu. Ce projet fut donc repris par des peuples très avancés dans les connaissances du fonctionnement de l’univers et en parfait accord avec les lois de l’Un. Ces peuples ne proviennent pas tous de Gaïa, mais d’origines et de plans énergétiques et de dimension divers. Ils porteront à leur tour ce projet jusqu’à nos jours. Le peuple vénusien, issu d’un autre plan que le nôtre, qui accompagne l’Humanité depuis fort longtemps, a contribué à la mise en place de Shambhala toutefois pas dès l’origine. D’autres peuples les rejoindront lors de l’évolution de Shambhala, certains pour un temps donné, d’autres resteront comme des résidents permanents. Ce qui nous fut dit, c’est que les membres de Shambhala dans les vibrations les plus basses sont des résidents permanents et plus on monte dans la vibration et plus ces êtres sont de passage. Cela ne signifie pas qu’ils ne restent pas en lien avec Shambhala mais qu’ils ne sont pas des résidents permanents.
On peut considérer qu’il y a eu deux périodes majeures qui se sont succédé. La première correspond au lancement du projet par les pré-adamiques et la seconde à la reprise du projet par des peuples extérieurs à notre plan énergétique ou de la Terre.

 

Remarque :
L’Un est défini comme le principe premier qui est à l’origine de toute chose dans l’Univers. L’Un et la Source sont deux noms qui représentent le même principe d’universalité et d’unité. Cela va bien au-delà du concept de Dieu, qui est très réducteur. Le principe premier est l’initiateur de tout dans le cosmos, du plus subtil au plus dense. C’est ce qui est défini en évoquant le « grand tout » mais ce n’est pas que sa création, c’est aussi une partie de lui-même. Nous humains sommes donc une partie, appelée extension, de l’Un, de la Source ou du Principe premier selon le terme que vous choisissez.
Le philosophe grec Plotin développera abondamment l’idée du principe premier vers le milieu du III siècle. En philosophie, tout ce qui se rapporte à l’Un se nomme Hénologie.

 

On ne peut pas parler de l’origine de Shambhala sans placer dans le temps ces deux grandes étapes. Vous imaginez bien que c’est un exercice difficile, recevoir des dates précises, mais également par rapport à son histoire qui ne se limite pas à deux périodes majeures de son évolution. Toutefois, placer les événements dans une certaine temporalité est important pour notre compréhension d’humain.
Voilà ce qui ressort de notre questionnement sur le sujet. La première étape de la création de Shambhala date de 7.400 ans avant JC, ce qui place sa création après le grand déluge. Ce qui est important, car il y a un lien avec cette série d’événements qu’est le grand déluge. Après l’arrêt du projet des pré-adamiques, la reprise par de nouveaux peuples se fait aux alentours de 700 à 800 ans avant JC, ce qui est récent dans l’histoire de notre Humanité.

 

DES PERCEPTIONS DIFFERENTES DE SHAMBHALA

Les visiteurs de Shambhala observèrent souvent des paysages verdoyants, des montagnes et une grande étendue, presque sans limites. Cette perception est due au fait que cette cité est tout simplement pure énergie. Ainsi, chacun à sa propre lecture de ces énergies au travers de ses filtres. Elle donne la sensation de ne pas avoir de limite, car elle est reliée à l’univers.
Il existe plusieurs lieux qui peuvent extérieurement ressembler à Shambhala, mais, ils sont dans une vibration inférieure, bien que très nettement supérieure à celle de l’Humanité. Je parle des cités de l’intra-terre, comme Télos, l’Agartha ou encore des lieux comme Hyperborée ou d’autres dont le nom est encore inconnu. Tous ces lieux hébergent, d’une manière générale, des peuples bienveillants à notre égard et nous aident de différentes façons. Ces lieux sont des endroits de protection et qui favorisent la communication entre les résidents de Shambhala et les peuples extérieurs à la Terre, mais également avec ceux de l’intra-Terre. Ce qui nous est indiqué, c’est la circulation de l’information entre tous ces peuples qui démontre des liens étroits avec ces cités. Ceux qui nous accompagnent durant cette séance insistent sur cette notion de récolte et de diffusion de l’information, ce qui semble être important pour eux. Je ne peux pas préciser la nature des informations transmises, cela ne nous a pas été mentionné.

 

QUI SONT LES RESIDENTS DE SHAMBHALA

Les résidents sont issus de nombreux peuples venant d’autres planètes ainsi que d’autres plans vibratoires. Ils ont en commun un niveau vibratoire très élevé, comparé à celui de l’Humanité. Ceux qui sont dans une vibration encore plus haute que les résidents sont souvent de « passage ». Je pense, sans que je puisse l’affirmer, qu’ils ont un rôle de superviseur de Shambhala. Durant son histoire, les résidents ont vu plusieurs peuples venir grossir leurs rangs durant des périodes parfois longues puis repartir, laissant la place à d’autres arrivants. Il y a donc bien une succession de peuples et de races, contrairement à ce qui est parfois dit. Alors, il n’y a pas un peuple issu de Shambhala mais des êtres qui viennent d’ailleurs.
Il n’y a pas d’êtres de lumière de quelque nature que ce soit qui résident dans ce lieu. Mais, des maîtres ascensionnés ou des êtres de lumière accèdent de temps à autre aux niveaux les plus élevés de Shambhala mais n’y résident pas. Ils viennent pour transmettre et enseigner aux résidents. Il nous est précisé que tous ces résidents sont des êtres incarnés.
Comme partout quand on parle de spiritualité, il n’existe aucune hiérarchie, juste des êtres plus avancés que d’autres. Les résidents sont tous des êtres éveillés et peuvent tous être considérés comme des maîtres incarnés. On ne les appelle pas maîtres pour autant, car ce n’est pas leur rôle. Leur niveau vibratoire permet que l’on puisse les considérer comme tels. C’est-à-dire qu’ils n’ont pas encore fait l’élévation, d’où le terme de maître non ascensionné, ils sont encore dans un processus d’incarnation. Pour certains, c’est un choix que de rester dans le processus d’incarnation, afin d’accompagner au plus près l’humanité et toutes les formes de vie « intelligentes » présentes sur Gaïa.

 

Remarque :
J’ajoute cette précision sur ce qu’est l’incarnation, car souvent mal interprétée. Ce terme est généralement employé pour signifier « prendre chair », mais c’est restrictif quand il est employé pour parler de la Vie. Il est important de savoir que l’âme et la conscience sont parfaitement liées. La conscience est la plus active et prédomine dans la dimension subtile et l’âme devient plus présente lorsqu’il y a une incarnation. Mais, les deux sont parfaitement liés.
L’incarnation implique deux choses, être dans une « enveloppe » et pour une durée limitée.
L’incarnation ne se fait pas obligatoirement dans un corps dense, tel que le corps physique de l’être humain. Ce terme implique une notion de début et de fin, l’incarnation est donc limitée dans la durée. En fonction de la nature du peuple dans lequel se passe ce processus, l’être est doté de corps qui vont du plus subtil au plus dense. Mais, à la différence du corps dense de l’Humain, certains peuples ou races sont dénués de corps physique.
En résumé, une âme peut donc utiliser un corps subtil à la vibration élevée ou un corps dense qui vibre dans une fréquence basse, cela en fonction de la race ou du peuple choisi. Tout dépend de l’expérience choisie par l’âme.

 

Je précise que les habitants d’autres cités que j’ai nommés plus haut sont dans un niveau vibratoire moindre que celui de Shambhala, ils ne disposent pas de mission d’accompagnement de l’Humanité. Toutefois, ils ne sont pas indifférents à notre évolution et nous aident.
Nous avons une représentation de Shambhala plutôt axée sur des cultures asiatiques et en particulier Tibétaine, hindouiste. Effectivement, de nombreux textes provenant de ces cultures nous parlent de Shambhala, mais c’est une perception trompeuse. D’autres cultures, qui sont davantage des traditions orales, parlent également de ce lieu merveilleux. Celui-ci est connu par ces peuples sous d’autres noms, mais qui correspond à une même réalité. C’est le cas pour le peuple aborigène ou d’autres issus du continent africain ou encore d’Amérique du Sud. Ce lien n’est pas évident à faire, s’il ne nous avait pas été souligné par nos guides de séances, car les noms sont différents et les enseignements ne sont pas transmis de la même façon. Il y a par ailleurs les limitations religieuses et les croyances de chaque peuple qui perçoivent la dimension spirituelle et sacrée, mais qui freinent la compréhension de l’universalité de ce lieu.

 

ROLES ET ENSEIGNEMENTS

Shambhala a plusieurs rôles, le plus connu est celui d’accompagner toutes les formes de vie « intelligentes »de Gaïa dans leur évolution, ce qui explique sa présence sur de nombreux plans.
Elle a aussi un autre rôle, celui de la protection et de la sauvegarde de connaissances et de secrets. Il ressort de nos entretiens avec les différents guides qui nous ont accompagnés lors de nos séances, qu’il existe un lien entre Shambhala et l’Atlantide. Les Atlantes qui respectaient les lois de l’Un ont transmis des connaissances et des secrets qui ne devaient pas être oubliés, mais demeurent cachés jusqu’au jour de leur révélation.

 

Remarque :
A la fin de l’Atlantide, il y avait deux factions qui s’opposaient. Celle qui était dans le respect des lois de l’Un a choisi de transmettre à ceux de Shambhala des secrets et des connaissances. Mais, des connaissances ont été également transmises à d’autres peuples, notamment en Egypte ou l’on retrouve des enseignements délivrés par « l’école des mystères ». De nos jours, ces préceptes ne sont pas perdus et continuent d’être transmis par des initiés à des personnes sélectionnées. Ces connaissances sont aussi accessibles par d’autres canaux d’informations. Les êtres de lumière et les maîtres, ascensionnés ou non, entretiennent ce travail de transmission. Aucune connaissance n’est perdue, elle reste entre de bonnes mains en attendant le temps de leurs divulgations.

 

Ces informations touchent à la compréhension du fonctionnement de l’univers et de Gaïa, mais également concernant l’avenir. Ces informations relèvent ce que j’appelle les néo-sciences, c’est-à-dire des sciences établies sur des principes inconnus de nos académies d’aujourd’hui. C’est une compréhension qui nous dépasse complètement de nos jours, néanmoins que l’on pourrait imaginer être une lointaine cousine des sciences quantiques. Ce que nous avons compris, c’est que ça se rapporte à ce que l’on appelle la physique au sens le plus large, aux mathématiques et à des sciences que nous ne connaissons pas encore. Je ne vais pas plus loin dans mon explication, car je suis incapable de développer ce que mon esprit ne peut comprendre.
Shambhala a aussi un rôle de mise en relation et de partage de l’information avec les différents peuples de l’univers. L’information est délivrée en fonction du degré d’élévation de chaque peuple. Parce qu’un peuple peut être très évolué en matière de technologie, mais avoir un niveau d’élévation relativement faible.

 

Remarque :
Quand je parle d’élévation, il ne s’agit pas uniquement du taux vibratoire, mais également de l’ouverture de la conscience. Cette ouverture intègre la notion d’Amour au degré le plus élevé et tout ce qui y est associé, comme la compassion. Mais également la compréhension de la notion du collectif au sens Divin, notre appartenance au grand tout. Sans cette compréhension de l’Unité et de l’universalité, il n’y a pas d’élévation possible. Le point de départ est de s’élever de l’individualité pour accéder à l’Unité. Cela se fait par étapes jusqu’à l’Unité avec la Source. Si la science des Hommes évolue seulement dans la direction de la matérialité, c’est parce qu’il nous manque cette élévation. Les sciences académiques sont seulement dans le mental, elles le revendiquent et en font même une assurance de leur savoir. Fondé sur le mesurable, quantifiable et reproductible, rien de ce qui sort de ce triptyque n’a d’existence. Depuis le début du grand changement de plus en plus de scientifiques travaillent en marge des enseignements académiques cependant certaines académies commencent à s’ouvrir à de nouvelles approches.

 

Un autre aspect du rôle de Shambhala est le partage de la connaissance entre les peuples. Se trouvant dans un lieu où convergent de nombreux plans de la Terre, mais aussi de multiples accès à l’univers, Shambhala est donc un élément clef pour le partage de la connaissance. Ce rôle qu’elle entretient au travers des maîtres qui y résident depuis son origine va perdurer dans l’avenir, nous et bien d’autres en seront les heureux bénéficiaires. La diffusion de cette connaissance s’est faite de manière discrète ces derniers siècles, et le sera de moins en moins avec l’élévation des peuples. L’accès à l’information, à l’enseignement et la restauration de la véritable histoire de la Terre et de l’Humanité se fera grâce à ce partage venant de Shambhala.

 

LES REPRESENTANTS DE L’HUMANITE

Il existe à des niveaux subtils des cercles regroupant des représentants de nombreux peuples. Ces cercles ne doivent pas être confondus avec les « fédérations », qui sont des alliances de peuples visant à unir leurs savoirs, leurs forces et à agir en commun. Celles-ci opèrent dans la matérialité. Les cercles que je nomme « galactiques » permettent de lancer des réflexions, de décider et d’œuvrer jusqu’à un certain niveau, au-delà duquel il relève des êtres de lumière. Il existe de nombreux cercles galactiques, chacun ayant vocation à œuvrer dans des thématiques définies. A l’intérieur de ceux-ci, l’humanité est représentée par des maîtres venant de Shambhala. Ils interviennent pour le bien de l’humanité, de Gaïa et représentent aussi d’autres peuples vivant dans d’autres plans vibratoires de la Terre.
Les rôles de Shambhala sont donc très étendus et vont donc bien au-delà de l’accompagnement de l’ouverture de la conscience. 

 

Sources de cet article : Séances de canalisation

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