Shambhala la merveilleuse – Partie 1

 
SHAMBHALA LA MERVEILLEUSE – PARTIE1
 

Ce que j’exprime dans cet article est une synthèse de ce qui nous a été transmis au cours de séances de canalisation. Lors de celles-ci, j’ai toujours été accompagné d’une amie et compagne d’exploration et de voyages spirituels. Pour des raisons qui lui appartiennent, elle souhaite rester anonyme, je parlerai d’elle sous le pseudo qu’elle a choisi, Isa’Aile.

C’est à l’occasion d’une séance que la proposition d’écrire un article sur Shambhala nous a été faite et c’est avec beaucoup de joie et d’intérêt que nous avons accepté. Durant ces séances, nous avons été guidés alternativement par des représentants de cette cité, mais également par des maîtres et un gardien de l’arbre de la connaissance lors d’une séance d’inspiration chamanique.
Les informations retranscrites dans cette série d’articles sont issues de plusieurs séances de canalisation. Elles intègrent également des informations collectées auprès de personnes qui ont eu accès par l’astral à Shambhala.

 

UN NOM PORTEUR D’HARMONIE

Le nom de Shambhala est une invitation à la dimension mystique, sa simple évocation prêtant au mystère, à la spiritualité. Sa prononciation est un apaisement, un appel au bien-être. Le prononcer, c’est aussi diffuser une vibration qui réunifie les cœurs, il descend ainsi dans plusieurs chakras du corps, ce qui a pour conséquence d’unifier l’être.

Le Shambhala est un nom sanskrit qui signifie « lieu du bonheur paisible », ce qui correspond à l’idée que l’on peut se faire de cet endroit. Il peut s’orthographier de différentes manières : Shambala, Shamballa ou encore Shambhala pour la plus courante en occident.

Chacun peut y placer sa propre conception de sa spiritualité. Pour les uns, c’est le point culminant de l’incarnation de la spiritualité sur Terre, pour d’autres ce n’est qu’un mythe, une légende entretenue par un espoir désespéré des hommes pour un monde meilleur. Mais, quoique l’on puisse placer dans ce nom, il est la représentation de l’harmonie, de l’élévation de l’être et une forme d’idéal. Que l’on y croie ou pas, ce nom est une incroyable source d’inspiration. La littérature, que ce soient les romans, les livres traitant de spiritualité, le cinéma ou même les jeux vidéo, font régulièrement référence à ce lieu énigmatique propice à la libre imagination. Il y a tant de mystère autour de ce nom qu’il laisse la porte ouverte à toutes les interprétations. Ce foisonnement d’hypothèses, d’explications parfois fantaisistes ne doit pas masquer une vérité transmise depuis des siècles et qui continue à l’être de nos jours.

C’est lors du 19ᵉ siècle que le nom de Shambhala commence à être familier aux oreilles du grand public occidental. C’est à partir de cette époque que l’on commence à trouver une littérature accessible. Mais, la diffusion reste malgré tout restreinte, la seconde partie du vingtième siècle verra naitre un élan grandissant pour le bouddhisme, notamment Tibétain. Ce nouvel engouement est issu d’un profond besoin de la jeunesse de l’Occident de se retrouver dans un élan spirituel. Dans une époque en mutation, elle verra une partie d’entre elle voyager vers cette lointaine région à la recherche d’un idéal spirituel. Cependant, cette quête, mal comprise, se terminera souvent par de douloureux déboires, quelques fois psychédéliques.

A l’approche du 21ᵉ siècle, c’est une nouvelle vague de recherche de spiritualité qui voit le jour. Cette recherche plus profonde n’est plus à la poursuite d’un idéal, mais d’un véritable retour à soi. Une littérature plus abondante permet d’apporter des réponses à un questionnement grandissant. Les expériences mystiques se multiplient progressivement, Shambhala devient un symbole. Celui d’un monde dans lequel l’harmonie et l’élévation de soi dans les lois de l’Un, c’est-à-dire de la Source, nous montrent la voie d’un chemin qui devient accessible.
En à peine deux cents ans, Shambhala est devenu en Occident un composant essentiel d’une certaine forme de spiritualité. Je ne rentrerai pas dans les considérations pseudo-religieuses et les différents types d’enseignements bouddhistes qui revendiquent, pour certains, être à l’origine de ce lieu merveilleux. Il y a bien sûr indéniablement des enseignements issus de Shambhala qui ont marqué les religions monothéistes et certaines formes de spiritualité. Le dénommé Jésus a arpenté les pistes et les chemins qui mènent vers l’Himalaya durant son jeune âge, accompagné de son oncle Joseph d’Arimathie et de quelques autres personnes. Il retournera en Asie après sa crucifixion dont il guérira et l’on retrouve sa trace à plusieurs endroits en Asie. Les Bouddhistes, en général, le reconnaissent comme un Guru, un maître. Ainsi, je fais cette parenthèse avec Jésus, pour montrer que l’enseignement de Shambhala est universel, même si inévitablement des divergences apparaissent dans les interprétations de chacun.

 

OU LA CITE DE SHAMBHALA A-T-ELLE ETE EDIFIEE

Aucune carte ne vous guidera vers ce lieu, aucun humain ne peut vous indiquer l’itinéraire à suivre, alors Shambhala est-elle bien réelle ?
Les auteurs parlent tantôt d’une cité, tantôt d’un royaume. Ce fut donc ma première question à ceux qui nous accompagnent durant cette première séance sur ce sujet. Si l’on se réfère à la représentation de ce qu’est un royaume, c’est plutôt la notion de cité qui s’impose. Un royaume suppose un roi ou un chef à sa tête, ce qui est très loin du fonctionnement de ce lieu. Même si de nombreux écrits rappellent l’existence de lignées royales, il n’y a aucune hiérarchie à Shambhala. Cette cité ne se limite pas aux murs d’une ville, elle possède également des vallées verdoyantes entourées de montagnes. Autour de la cité, il existe des faubourgs, que certains appellent Shambhala mineur, ce ne sont pas d’autres cités, mais font bien partie de Shambhala. En tout cas, nos guides ne font pas de différence.

 

Remarque :
Il est rapporté dans divers écrits la présence de vallées verdoyantes, de sources d’eau chaude, de paysages merveilleux, environnés de montagnes arides, dépourvus de végétation. L’un des guides de séance nous expliqua que ce qui est rapporté est exact, il ne s’agit pas d’une interprétation comme je l’évoque plus loin concernant d’autres cas. Ces paysages existent bien sur un autre plan vibratoire dans lequel Shambhala est établi. Celui-ci se situant dans les vibrations les plus basses, donc les plus accessibles, ils ont ainsi pu accéder à ce plan. Il s’agit de la conjonction de plusieurs paramètres qui a permis de se trouver dans ce lieu. D’autres peuvent aller sur le lieu et n’auront pas cette perception, car n’auront pas accès à ce plan. Cela explique qu’il n’est pas possible de la situer et d’y retourner. Comme ils ont accédé à la partie la plus basse de la vibration, pour eux pas de présence de la cité qui se situe plus haut dans la fréquence, mais juste des paysages qui donnent tout son sens à son nom « lieu du bonheur paisible ».

 

Ceux qui ont physiquement pu accéder à la cité ont tous franchi des portes, que ce soit par des monastères dans l’Himalaya, dans le désert de Gobi, dans les plaines de Mongolie ou dans d’autres lieux gardés secrets. Dans un article précédent dont l’objet était les « pyramides de par le monde », j’ai évoqué le rôle de quelques pyramides sur notre planète. J’ajouterai que la pyramide de Khéops ainsi que d’autres pyramides, notamment en Asie, sont des points d’accès à Shambhala. Toutes ces portes permettent un accès à Shambhala qui se situe dans plusieurs plans vibratoires différents. Il y a donc bien des accès dans notre plan matériel, mais parfaitement dissimulés. Si l’accès peut se faire de multiples endroits, rien ne nous assure de sa présence dans l’Himalaya. Il existe sur ce sujet des descriptions dans des documents bouddhistes, tibétains, hindouistes et sûrement ailleurs, mais n’étant pas un spécialiste, je rapporte seulement ce qui nous est dit.

J’ai la chance d’avoir dans mon entourage des personnes qui ont eu accès à Shambhala par voyage astral et j’ai ainsi pu découvrir que les descriptions qui m’étaient faites du lieu étaient différentes les unes des autres. Cependant, j’ai été très troublé par ces descriptions en les comparant avec celles que j’ai pu lire dans divers ouvrages ou articles sur internet. Selon certains, l’architecture fait penser à une cité médiévale d’inspiration asiatique, alors que pour d’autres, cela évoque plus des temples à l’architecture Asiatique, Romaine, Grec ou encore dotés d’une architecture qui leur était inconnue. Comment est-ce possible qu’il y ait autant de différences dans toutes ces descriptions ? Cela me mettait mal à l’aise, car je connais personnellement ces personnes et elles ont toute ma confiance. Le livre d’Anne Givaudan et de Daniel Meurois « Le voyage à Shambhala » est très riche en détail sur ce qu’ils ont vu et n’a fait que renforcer mon questionnement. Mieux encore, lors d’une visite guidée de Shambhala avec ma partenaire Isa’Ailes, nous n’avons pas perçu les mêmes choses.

Nous aurons une réponse à notre questionnement, elle nous fut donnée par « ceux » de Shambhala lors d’une autre séance.
On ne peut pas trouver cette cité dans la matérialité, car elle n’existe pas dans la densité. Seuls les points d’accès sont visibles. Alors où se situe Shambhala ? Notre esprit humain nous impose de concevoir les choses selon nos schémas de pensée. Nous sommes dans la matérialité, donc une cité a des murs, une architecture correspondant à nos conceptions. Mais, des êtres dénués de corps ou qui se dématérialisent à volonté ont-ils besoin de murs, de bâtiments ? Qui plus est, elle se situe sur de nombreux plans simultanément, pourquoi se serait-elle inspirée d’une architecture humaine plus que celle d’un autre peuple issu d’un plan différent ?

Alors, tous ceux qui ont écrit sur ce lieu visité ont-ils fabulé ? Non, ils ont réellement vu ce qu’ils ont décrit. Cependant, leurs esprits ont traduit les énergies perçues par ce qu’ils imaginaient en plus magnifié, le tout étant coloré des croyances de chacun.

Exemple :
Un bouddhiste ne concevra pas cette cité avec une architecture à l’occidentale, avec des gratte-ciel ou des bâtiments en verre. Il y verra une architecture familière inspirée par sa culture personnelle et sociétale.

C’est le poids de notre culture, de nos croyances, ce que l’on appelle les filtres qui transforment les informations reçues.
Il nous a été expliqué, que Shambhala est énergie et qu’à ce titre elle est perçue de la manière que l’on souhaite. Si notre conscience est assez élevée, alors nous n’avons pas besoin de représentation matérielle.

Shambhala existe bien, mais pas comme on l’imagine. Elle se situe simultanément sur de nombreux plans vibratoires. Dans les plans dont la vibration est élevée, ses habitants perçoivent et ont des contacts directs et permanents avec les résidents de Shambhala. Les plans comme le nôtre, à la vibration beaucoup plus basse, n’ont pas cette possibilité. Mais, comme pour toutes les règles, il y a des exceptions, des possibilités nous sont offertes d’y accéder malgré nos vibrations denses. Shambhala n’est pas inaccessible, tout au contraire.

Après avoir reçu ces informations, nous nous sommes interrogés avec Isa’Ailes, si ce lieu est une spécificité de la Terre ou bien s’il existe d’autres cités comme elle dans l’univers ? Il nous fut répondu que oui, Shambhala n’est pas unique et qu’il existe d’autres lieux secrets dans l’univers. Des peuples soumis à une menace extérieure ou qui ont connu un effondrement de leur civilisation dans le chaos ont vu leur planète héberger une cité hautement spirituelle. Celles-ci, à l’instar de Shambhala ont pour objectif de préserver des informations le temps que le peuple soit en mesure de les recevoir de nouveau.

 

Sources de cet article : Séances de canalisation

 

Retour en haut